Feu de zombie : Un nouveau risque d'incendie ?
Captures d'écran
Zombie Fire est la nouvelle application pour smartphone la plus chaude du marché - et l'une des applications les plus intéressantes et uniques à frapper l'écosystème Android. Le zombie est une simulation en temps réel d'un feu qui a été programmé par des chercheurs de l'Université deeston UK. Les chercheurs ont mis au point des algorithmes informatiques complexes qui permettent d'identifier les incendies zombies (également connus sous le nom de "holdover" ou "smolder") qui se consument dans des sols riches en carbone ressemblant à des pois, puis se rallument plusieurs mois plus tard. Dans un article publié dans le Journal of Applied Ecology, une équipe de chercheurs de l'Université ofeston UK décrit comment leur algorithme est capable de générer ce type de simulation réaliste.
Le feu zombie est une application unique en son genre, puisqu'elle simule la propagation rapide des feux de forêt, qui provoquent d'importants dégagements de dioxyde de carbone et d'aérosols de carbone noir. Par le passé, les chercheurs ne pouvaient simuler que les changements climatiques régionaux, tels que les températures diurnes ou nocturnes et l'humidité relative, afin d'évaluer les risques d'incendie locaux à l'aide de données historiques. Le projet Zombie Fire est conçu pour donner aux scientifiques et aux gestionnaires de l'environnement mobiles une représentation graphique dynamique et complète sans précédent des émissions futures de CO2 provenant de divers scénarios de brûlage futurs, en utilisant une combinaison de données d'observation satellitaires, aéroportées et au sol.
L'application Zombie Fire permettra également aux utilisateurs d'observer le réchauffement climatique et ses effets sur le climat arctique. L'équipe teste actuellement l'application dans cinq régions différentes de l'Alaska, où elle utilise une combinaison d'images diurnes et nocturnes et le même comportement du feu pour identifier et caractériser les sources potentielles de combustible et les points d'ignition. En outre, l'équipe cherche également à savoir comment le réchauffement climatique peut affecter la distribution des feux de zombies et leurs composants biologiques spécifiques.
