Captures d'écran
Apple iWork est une suite d'applications pour le travail de bureau qui est compatible avec les plates-formes Apple iOS et OSX. La suite bureautique comprend l'application Keynote ; un programme utilisé pour faire des présentations, Pages ; une application utilisée pour créer des documents, et l'application de tableur Numbers. La suite d'applications iWork est censée être conçue pour le marché des prosommateurs, avec des fonctionnalités simplifiées que l'on trouve dans Microsoft Office pour Mac, ou le logiciel libre Libre Office. Les applications iWork sont également compatibles avec les écrans tactiles et le logiciel iCloud.
Composantes communes
Les produits de la suite d'applications iWork ont des composants communs qui proviennent du fait qu'ils partagent une interface de programmation d'application similaire comme Cocoa et d'autres API. Parmi ces API communes, on trouve l'application multilingue de vérification orthographique utilisée dans Safari et Mail. Parmi les autres caractéristiques de conception communes, citons le sélecteur de couleurs, le système de vérification de la grammaire et l'application de recherche/remplacement.
Le document sous-jacent appelé "canvas" est également commun à toutes les applications iWork. Il s'agit d'un type de document générique de type conteneur qui est utilisé pour fournir une mise en page et un mécanisme de stockage dans les applications Apple. Chaque application de la suite iWork d'Apple utilise le canevas comme arrière-plan et y place ses propres composants pour créer un programme différent. Dans l'application Pages, par exemple, la grande zone de texte est l'élément central de l'application lorsqu'elle est ouverte pour la première fois, mais elle peut ensuite être modifiée par l'utilisateur de la manière qu'il souhaite. De même, dans Numbers, le tableur, l'application s'ouvre avec une grille de cellules comme une feuille de calcul classique, mais l'utilisateur a encore une fois beaucoup de liberté pour jouer avec les données sur la toile.
Le modèle iwork serait basé sur l'ancien OpenDoc conçu par Apple, qui avait un moteur de document sous-jacent similaire, ainsi qu'un format unique sur le disque.